1. Évaluer vos besoins en garanties et en remboursements

Si vous voulez limiter votre budget santé et le tarif de votre mutuelle, la clé est de ne payer que les dépenses utiles. Il est essentiel d’analyser vos frais de santé avant d’adhérer à un contrat santé. Grâce à une estimation de vos dépenses de santé, il devient plus facile de répartir les dépenses (consultations chez le médecin, médecine douce, médicaments, optique, dentiste, etc.) et de trier les garanties de votre mutuelle.

2. Faire la comparaison des mutuelles

Afin de réduire les coûts, jouez sur la concurrence. Une comparaison des mutuelles permet de faire une économie non négligeable, de l’ordre de 30 % sur le montant de la prime d’assurance.

3. Déclarer un médecin traitant

La déclaration d’un médecin traitant va vous donner la possibilité de bénéficier du ticket modérateur, quel que soit le nombre d’actes médicaux. Pour rappel, le ticket modérateur fait référence à la différence entre la base de la prise en charge Sécu et le remboursement effectif. Le fait de ne pas déclarer un médecin traitant va alors vous priver d’un bon remboursement par la Sécurité sociale et la mutuelle santé.

4. Miser sur des médicaments génériques

En utilisant des médicaments génériques, vous pouvez faire une économie pas moins de 30 %. Qui plus est, ces médicaments ont les mêmes efficacités que les médicaments de marque. Toutefois, assurez-vous que le médicament en question est remboursé par votre assurance-maladie.

5. Privilégier des médecins partenaires de votre mutuelle

Selon la loi, les compagnies d’assurance et les mutuelles peuvent mettre en place des différences dans les remboursements et les prestations. Ceci s’applique si l’assuré opte pour un médecin ou un établissement appartenant au réseau de soins de la mutuelle. Choisir un professionnel de santé référencé par votre mutuelle permet ainsi d’optimiser le remboursement de vos dépenses médicales.

Pensez aux petits matériels

Ils sont utiles en cas de petites blessures. Il s’agit des bandes de sparadrap et des petits pansements. Il y a aussi les accessoires qui sont associés à ces éléments. Bien entendu, les ciseaux en font partie. Pensez aussi à vous munir d’une pince à épiler en cas d’échardes, d’un tir-tic et de bandes auto-agrippantes. Le thermomètre est aussi un outil à ne pas omettre.

Munissez-vous d’antiseptiques locaux

Si vous avez des enfants, la Biseptine est la plus recommandée. En effet, les enfants n’apprécient pas la sensation piquante des antiseptiques. C’est pourtant un élément incontournable de la boîte à pharmacie, grâce à sa capacité pour désinfecter et nettoyer les plaies.

Quelle solution face aux moustiques ?

Les répulsifs à moustiques font partie des « must have » de la boîte à pharmacie. Rappelons que les piqûres de moustiques peuvent être très dangereuses, surtout pour les personnes fragiles et les enfants. Certaines piqûres peuvent apporter des fièvres graves, telles que le paludisme, qui peut causer la mort.

L’antidouleur et l’anti diarrhéique

Les antidouleurs peuvent aussi être pris pour soulager les fièvres. Dans ce domaine, le paracétamol, le doliprane ou l’Efferalgan sont les éléments à ne pas oublier. S’il s’agit d’une inflammation, optez pour l’ibuprofène. Puis, nous ne sommes jamais à l’abri d’une diarrhée. Pour cela, il est recommandé de toujours avoir du Tiorfan ou du Smecta, ou les deux si vous voulez.

1. Faire une demande

Si vous voulez faire un bilan de santé, il va falloir au préalable adresser une demande auprès d’un Centre d’Examen de santé le plus proche de votre domicile. Vous pouvez effectuer une demande par téléphone ou via un formulaire en ligne sur le site de l’Assurance-Maladie (AMELI). Pour information, ces centres sont gérés par la Caisse Primaire d’Assurance-Maladie (CPAM).

2. Se rendre auprès d’un Centre d’Examen de santé

Comme on l’a déjà vu tout à l’heure, il faut prendre un rendez-vous pour effectuer un bilan de santé. Après la validation de celui-ci, vous devez vous rendre dans un des 85 Centres d’Examens de santé qui sont gérés par la CPAM ou Caisse Primaire d’Assurance-Maladie.

3. Effectuer des examens

Avant de faire un quelconque examen, le professionnel de la santé va vous poser des questions préliminaires qui permettent d’avoir des renseignements utiles sur votre historique médical. Ce questionnement fait référence aux informations médicales de la famille, à l’hygiène de vie (tabac, alcool, etc.) ou encore au patrimoine génétique du patient. C’est une fois après cela que le médecin peut faire un examen physique complet ou même des prélèvements sanguins. Depuis la naissance, un bilan de santé se fait en général tout au long de la vie. À l’aide d’un état des lieux de santé, il est possible de faire la prévention ou le dépistage d’une éventuelle maladie.

Une fluctuation hormonale

Si la cause du syndrome prémenstruel est restée floue pour les professionnels durant de nombreuses années, les changements qui se passent au niveau des hormones en sont un facteur probable. Pour mieux expliquer ces phénomènes, il faudra se focaliser sur le cycle menstruel de la femme. Dans la deuxième partie de ce cycle, il y a une fluctuation hormonale qui se produit.
On observe une augmentation de progestérone et une baisse d’œstrogènes, dans le cas où la grossesse est absente. Ces deux hormones ont pour rôle d’équilibrer les changements qui s’opèrent dans le corps, tel que le gonflement des seins. S’il y a excès d’œstrogènes ou manque de progestérone, les phénomènes de crampes et de seins sensibles apparaissent alors.

Les manifestations du syndrome prémenstruel

Les symptômes du syndrome prémenstruel varient selon le corps de chaque individu. Ils apparaissent dans les 2 à 7 jours avant les règles, et chez certaines femmes cela peut aller jusqu’à 14 jours. Dans les cas les moins graves, on peut observer des crampes passagères dans le bas du ventre avec un gonflement, ainsi qu’une sensibilité au niveau des seins.
Il est également possible de subir des céphalées, des vomissements, des étourdissements passagers. On note une augmentation de l’appétit, pouvant aller jusqu’à des fringales alimentaires. Sur le plan psychologique, on note également des changements plus ou moins visibles. La femme devient irritable et est en proie à des humeurs négatives. On parle de trouble dysphorique prémenstruel pour les cas vraiment graves.

Un traitement naturel à base de plante

Certaines plantes sont reconnues pour leur bienfait sur les articulations. Le cassis est reconnu par les passionnés de médecine naturelle. C’est un antirhumatismal très puissant. Les feuilles de cassis sont riches en vitamine C et P et contiennent du flavonoïde. Elles sont également riches en tanins de catéchol. Ces agents apaisent les douleurs articulaires. Buvez trois à quatre tasses d’infusion de feuilles de cassis par jour pour soulager votre rhumatisme.

La reine-des-prés possède des vertus anti-inflammatoires. Elle contient des actifs qui lui donnent les mêmes propriétés que l’aspirine. C’est votre alliée pour lutter contre les douleurs. Si vous êtes atteint d’un rhumatisme provoqué par l’humidité, buvez du thé à base de reine-des-prés tout au long de la journée. Cependant, elle ne convient pas aux personnes allergiques à l’aspirine.

Pour lutter contre votre rhumatisme, utilisez du curcuma. Cette épice est réputée pour ses propriétés anti-inflammatoires. Il est simple à ingérer, car il vous suffit de saupoudrer vos plats avec du curcuma. Si vous faites une cure, vous pouvez le prendre sous forme de comprimés ou de gélules.

Le CBD pour calmer le rhumatisme

Le CBD est un puissant anti-inflammatoire. Ses principes actifs lui donnent un effet relaxant. Ainsi, il permet de lutter contre les douleurs entraînées par le rhumatisme. Le cannabidiol atténue la douleur, car il agit sur le système nerveux en inhibant les messages de douleurs pour qu’ils n’atteignent pas le cerveau. Il joue aussi un rôle d’immunosuppresseur en agissant sur certaines cellules. Ainsi, il réduit les sensations d’inflammation et de douleur. C’est aussi un excellent immunomodulateur qui prévient les risques de neuropathie articulaire.

Visitez ce lien pour trouver des boutiques légales où acheter du CBD. Que vous soyez à la recherche de produits issus du chanvre, d’une herbe thérapeutique ou d’une infusion anti-stress, ces boutiques peuvent vous satisfaire.

Le cannabidiol a l’avantage de ne provoquer aucun effet secondaire, contrairement aux médicaments utilisés pour soulager le rhumatisme. Toutes les formes de CBD peuvent vous aider à soulager votre rhumatisme. La plus efficace est l’huile de CBD avec la formule aqua CBD curcumine. Effectivement, elle offre une biodisponibilité supérieure et contient du curcumine, une molécule anti-inflammatoire issue du curcuma. Les baumes à base de CBD peuvent être appliqués sur la zone douloureuse afin de la soulager.

Des mesures préventives

Pour améliorer votre mobilité, faire une cure thermale peut être efficace. Effectivement, les massages et les séances de physiothérapie sont une aide pour les articulations. Il est conseillé de ne pas solliciter les articulations douloureuses dans la mesure du possible. Adaptez votre environnement à votre état de santé.

Il est aussi important d’avoir un poids stable lorsque vous souffrez de rhumatisme. Un surpoids entraîne une pression plus importante sur les articulations. Ce qui augmente les sensations de douleur. Surveillez votre poids et adoptez une alimentation équilibrée et saine. Pratiquez des activités physiques comme la natation, la gym douce et l’aquagym pour renforcer votre musculature.

Comment se présente l’acouphène ?

Un acouphène peut être fort, faible, sourd ou rythmé. Lorsqu’il n’est pas particulièrement perceptible, l’acouphène est « compensé » puisque d’autres bruits environnants suffisent à le masquer. En revanche, il est décompensé lorsqu’il est clairement perceptible en permanence. Il peut également s’agir d’un phénomène temporaire ou régulier. Un acouphène qui dure trois mois environ est considéré comme aigu. Lorsqu’il dure jusqu’à 12 mois, il est subaigu et il devient chronique lorsqu’il persiste après 12 mois.

Comment soulager un acouphène ?

Lorsque l’acouphène est lié à une maladie, un traitement peut régler le problème. Selon la situation, il est, par exemple, possible que l’utilisation d’une prothèse auditive soit recommandée. Vous pouvez trouver divers conseils et différents modèles d’appareils auditifs sur le site www.maison-appareil-auditif.be/appareil-auditif/appareils-auditifs-pour-acouphenes. Dans d’autres cas, la prise d’anxiolytiques permet de vous soulager malgré la présence d’acouphènes. Mais parfois, ce sont des solutions simples comme l’émission de bruit blanc ou d’une musique qui vous seront suggérées. Et enfin, il existe de nombreuses autres solutions alternatives en fonction des causes de l’acouphène. S’il est provoqué par des tensions au niveau du cou, un massage suffit à soulager vos muscles et à réduire l’acouphène.

Quelles sont les causes de l’acouphène ?

Les causes d’un acouphène sont très variées. Lorsque l’origine de l’acouphène est interne, il est considéré comme subjectif et il est difficile de le détecter. Un acouphène subjectif est, par exemple, causé par une lésion du tympan ou un dysfonctionnement du cerveau. Lorsqu’il est lié à une autre maladie, il est dit « objectif ». Un médecin ORL est alors capable de le mesurer à l’aide d’équipements spéciaux. Enfin, un acouphène peut aussi être provoqué par des facteurs divers tels que le stress et la prise de médicament. Mais, un acouphène est aussi le plus souvent lié à l’âge ou à un traumatisme acoustique répété, comme l’écoute de musique à un volume très fort.

Ne jamais badiner avec l’amour

Il suffit qu’un beau type apparemment sain surgisse à la plage et tous les conseils reçus depuis les bancs de l’école partent aussitôt dans les oubliettes. Mais parfois, cela se passe au bureau, c’est-à-dire dans un endroit où il n’est pas ordinaire d’avoir des préservatifs à portée de main. Ce collègue a l’air si propre sur lui…Le problème quelquefois, c’est que le partenaire en question n’est même pas conscient qu’il est contagieux, qu’il est atteint d’une MST. Et la personne qu’il contamine peut ne pas se rendre compte non plus qu’elle l’est et si elle a de multiples partenaires, un cercle vicieux se crée rapidement. Et pourtant, il y a des MST qui sont sans pitié…

Rappels utiles sur l’hépatite B

L’hépatite B est une dangereuse MST. Dans les pays occidentaux comme la France, entre 70 à 80 % des cas d’hépatite B qui sont transmis par voie sexuelle. Et cette MST est encore plus dangereuse du fait qu’au niveau génital, on ne voit aucun symptôme qui signale la contamination. Mais elle fait son travail de sape en sous-marin. Si une malade de l’hépatite B a de la chance, elle peut juste subir une inflammation du foie plutôt bénigne. Mais assez souvent, malheureusement, elle peut entraîner des complications très graves puisqu’elle peut attaquer le foie au point de devoir transplanter un nouveau foie ou encore causer un cancer de cet organe. Et le fait est qu’on ne soigne pas encore l’hépatite B. La seule parade que l’on peut faire, c’est de vacciner les enfants et les préadolescents avant le début de leur activité sexuelle. Les adultes présentant une sexualité à risques peuvent aussi se faire vacciner.

Le sida, la MST impitoyable

Dans les pays riches, c’est souvent lors d’un acte sexuel que l’on contracte le VIH. Il y a plusieurs dizaines de milliers de femmes françaises qui sont séropositives. Mais le dépistage ne se déroule pas de la même manière d’une femme à une autre. Si une femme vit une sexualité stable avec son mari, un dépistage une seule fois suffit amplement. Mais pour une femme qui a plusieurs partenaires dont elle ignore les différentes activités sexuelles ou les antécédents sexuels (bisexualité, toxicomanie etc.), il est recommandé de se faire dépister régulièrement. Autrement dit, elle doit se soumettre à un dépistage 3 mois après une relation sexuelle avec chaque nouveau partenaire. Cela lui permet de se protéger – se faire surveiller et prendre les médicaments qui retardent l’apparition des maladies – et de protéger les autres car une fois qu’elle se sait contagieuse, elle évitera désormais tout rapport intime sans préservatif.

Quels sont les traitements possibles ?

Et à partir de là, c’est toute une équipe de soins qui va élaborer un plan de traitement uniquement pour vous, en prenant en compte votre état de santé en général, vos antécédents médicaux, les autres traitements que vous avez suivis auparavant, votre âge,, etc. Elle prend en considération aussi le stade du cancer, la possibilité d’une intervention chirurgicale mais également vos choix personnels. Cela veut dire qu’on ne vous imposera rien. Vous avez le droit, non seulement d’être informé de toutes les solutions médicales existantes, mais aussi d’accepter ou non tel ou tel traitement.

Envisagez-vous la chirurgie ?

Dans le cas où votre équipe soignante vous propose une chirurgie, cela suppose qu’elle estime que vous êtes en assez bonne santé pour supporter une telle opération. De plus, cela implique qu’elle juge qu’il est possible d’enlever complètement ce cancer. Mais tout ceci ne se passe pas facilement. L’équipe chirurgicale doit étudier minutieusement l’emplacement du cancer et la manière dont elle va procéder à l’ablation du cancer. Dans tous les cas, quelle que soit votre décision et quelle que soit l’opération que vous subirez, l’ablation des ganglions lymphatiques est inévitable. Mais quels sont donc les types de chirurgie envisageables ? Il y a d’abord ce qu’on appelle pneumonectomie qui consiste à enlever la totalité du poumon cancéreux. Puis, il y a la lobectomie par laquelle on enlève le lobe du poumon cancéreux. Toujours dans ce domaine, peut-être que la chirurgie la plus indiquée est la bilobectomie qui est un type de lobectomie permettant d’enlever 2 des 3 lobes que comporte le poumon droit. Ce qu’on appelle résection cunéiforme et la segmentectomie sont des opérations permettant d’enlever la tumeur et la partie saine alentour. La résection de la paroi thoracique est une chirurgie visant à enlever les os, muscles et tissus de la paroi thoracique. Quant à la résection en manchon, elle consiste à enlever la tumeur logée dans la bronche et une partie saine entourant la tumeur.

Radiothérapie ou chimiothérapie ?

Si une chirurgie n’est pas indiquée ou si votre état ne vous permet pas de subir une opération, la radiothérapie peut être la solution la mieux adaptée pour vous. Si vous ne souhaitez pas subir une opération, c’est l’option qui s’offre à vous. La chimiothérapie, de son côté, est l’étape après une intervention chirurgicale. Mais dans le cas où votre santé ne permet pas une chirurgie, la chimiothérapie peut être envisagée comme traitement principal ou bien si la chirurgie ne vous intéresse pas. Ce sont généralement 2 médicaments qui sont associés pour la chimiothérapie dont le cisplatine.

Confirmer les droits et devoirs du père

Le test de paternité est souvent utile lors d’un litige entre conjoints, notamment sur les questions de pension alimentaire pour les enfants. Dans certains cas, le père refuse de la payer. Pour que les résultats d’un test de paternité aient de la valeur auprès de la justice, le test doit être ordonné par le tribunal, le père doit signer un formulaire qui donne son aval pour le test et le laboratoire qui se charge des démarches doit absolument se conformer aux procédures mises en place. Dans certains cas, le tribunal peut obliger le père à passer un test afin d’avoir une preuve légale des liens de parenté entre lui et l’enfant. Si la paternité est confirmée, le père a le devoir de verser une pension alimentaire pour subvenir aux besoins de son enfant.
Si une personne revendique ses droits de parent et que le lien de parenté est prouvé par un test de paternité, le tribunal estime que les deux parents ont les mêmes droits.

Permettre à l’enfant de jouir de ses droits

Un test de paternité est également important dans la mesure où la mère souhaite ajouter un enfant à la police d’assurance du père. Ce cas peut se présenter lorsque le père n’a pas établi une reconnaissance de son enfant à la naissance. En conséquence, les compagnies d’assurance s’en servent comme preuve.
L’enfant, s’il est majeur, peut demander un test de paternité pour confirmer son statut d’héritier.

Lever le doute

Le doute peut nuire au développement émotionnel d’un enfant, à sa relation avec son père ou supposé père. Pour confirmer ou infirmer le lien de parenté entre l’enfant et le supposé père, il est possible de réaliser un test de paternité. Si aucune des personnes concernées n’a l’intention d’utiliser le résultat du test à des fins juridiques, elles peuvent effectuer le test sur https://www.vaterschaftstest-dna.com. C’est rapide, simple et pratique.

Ce qu’est la ménopause

Dans la vie d’une femme, la ménopause correspond à l’arrêt du fonctionnement des ovaires et donc, à la production des hormones ovariennes, les fameuses œstrogène et progestérone. Pour une femme ménopausée, cela signifie aussi fin du cycle menstruel, plus de règles mois après mois. Elle va connaître un grand bouleversement hormonal et c’est cela qui entraîne de nombreux symptômes. Cependant, la ménopause ne survient pas du jour au lendemain, elle est précédée par une période appelée péri-ménopause pendant laquelle les menstruations s’arrêtent peu à peu, et cette période peut s’étaler sur plusieurs années (jusqu’à 5 ans parfois). A noter que les symptômes peuvent apparaître dès le début de la péri-ménopause, mais ils varient aussi bien en intensité, en type et en durée. Les principaux symptômes en cette période sont les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes et ceux-ci peuvent persister des années après l’arrivée de la ménopause proprement dite. Puis, d’autres symptômes apparaissent, la sécheresse vaginale ou la perte d’élasticité ou le rétrécissement vaginal. Mais ce n’est pas tout, un ensemble d’autres symptômes peuvent survenir : troubles de l’humeur, du sommeil, urinaire, troubles de la mémoire et de la concentration, baisse de libido, prise de poids, dépression, etc.

Traitements naturels pour soulager les symptômes de la ménopause

Si votre médecin vous a prescrit des médicaments, vous devez absolument les prendre, les traitements naturels viennent juste les compléter, comme indiqué sur le site http://menopause-solution.fr. Contre les bouffées de chaleur, l’huile essentielle de sauge s’avère très efficace. Il a été prouvé que la sauge a une action régulatrice sur les hormones. Au réveil et avant de vous coucher, prenez un comprimé neutre sur lequel vous déposerez 2 à 4 gouttes d’HE de sauge sclarée puis croquez. Contre les troubles du sommeil, la mélatonine est l’idéale, étant donné que c’est l’hormone du sommeil. Consommez-en 1 à 2 g une demi-heure avant de vous endormir. Si vous avez peur de prendre du poids durant cette période, prenez le gymnema sylvestris, réputé pour contrôler l’appétit et notamment l’envie de sucre. 1,5 g par jour sous forme de gélules est conseillé. Pour contrôler votre humeur et lutter contre l’irritabilité, le magnésium est parfait, puisqu’il joue un rôle important sur l’anxiété et le stress. Alors, allez-y pour le chocolat, les légumes vers et secs, les fruits oléagineux mais ajoutez à ce régime un complément alimentaire, mais ne dépassez pas les 350 mg par jour au total.